Marc avait reçu sa convocation pour passer la visite médicale avant son embauche en tant que "pion" dans l'Université Royale de Dublin.

Ce qu'il ne pouvait deviner c'est que l'entrée dans cette vénérable université, qu'il s'agisse d'un étudiant ou d'un auxiliaire d'étude, le bizutage de première année est une règle auquel on déroge jamais. Sa convocation lui été parvenue par courrier et ne connaissant pas encore les bâtiments, il s'en remis aux indications portées sur le courrier. Rendez vous Lundi 14h porte 12, au troisième étage de l'aile B de l'université.

A l'heure dite, il mit sa main sur la poignée de la porte ou étaient inscrits au marqueur indélébile les mots suivants sur un morceau de carton collé sur le bois de la porte: Salle de soins provisoire

Il essaya d'ouvrir la porte épaisse pour entrer dans la pièce, mais celle-ci résistait. Il forçat un peu plus et lorsque celle-ci céda sous sa poussée énergique, un vacarme assourdissant se fit entendre dans la pièce. En pénétrant dans la pièce, il s'aperçut qu'il venait de renverser plusieurs flacons en verre qui étaient posés sur une table roulante qui devait se trouver derrière la porte.

Il chercha en vain du regard un balai ou tout autre ustensile qu'il pourrait utiliser pour nettoyer sa "catastrophe". La pièce était presque vide à l'exception d'une table de soins, un fauteuil et quelques ustensiles médicaux. Décontenancé, il ne savait pas quoi faire.

Une jeune infirmière entra dans la pièce et poussa , un cri d'horreur à la vue des flacons en miettes sur le carrelage.

• He bien on peut dire que vous alors vous commencez bien. L'infirmière en chef va être furieuse quand elle va voir ça, et quand elle est en colère, je ne voudrais pas être à votre place.

Sans attendre la moindre réponse ou la réaction de Marc, elle continua son monologue.

• Posez tous vos vêtements sur le porte manteau, je dois vous examiner complètement pour éviter tout risque. Ici on est très strict sur la sécurité médicale.

Marc ne compris pas tout de suite qu'il devait se déshabiller entièrement et il fallut que l'infirmière insiste une seconde fois pour qu'il se décide à se se déshabiller pour au final se mettre nu devant cette inconnue qui le fixait du regard pendant qu'il ôtait un à un ses vêtements.

Une fois complètement nu,il ne savait pas comment se comporter. L'infirmière le regarda de longues secondes et lui dit de s'avancer vers elle. Assise sur le fauteuil à roulettes, elle attendait patiemment que Marc s'approche d'elle. Elle se leva et commença par lui prendre les mains et les détaillas une à une. Puis elle s'attarda sur son torse et ses épaules, puis elle décida de se rasseoir.

Une fois bien calée sur le siège, elle prit dans ses deux mains son sexe qui ne demandait qu'à durcir et elle poussa d'une main la peau de sa verge pour décalotter son prépuce afin de vérifier si tout était conforme à ses attentes. Incapable de se contrôler, Marc était prit d'une érection qui lui tendait la verge vers le plafond.

Faisant mine de ne rien remarquer, l'infirmière continuait de l'ausculter en passant maintenant ses mains sous ses bourses et en les pressants l'une contre l'autre pour mieux en vérifier le volume et la lourdeur.

Elle lui demanda d'écarter les jambes, ce qu'il fit sans dire un mot, et lorsqu'un doigt s'aventura entre ses cuisses pour trouver son anus, il eut un mouvement de recul soudain qui surprit la jeune femme.

Au moment ou elle allait le prendre par le bras pour le faire avancer vers elle, la porte d'entrée claqua avec violence.

C'était l'infirmière en chef qui pénétrait dans la pièce.

• Qu'est ce que c'est que ce bordel , Qui a fait cela ?

• C'est le futur pion, madame, répondit l'infirmière.

Marc, était au bord de la panique. Il n'avait jamais imaginer pouvoir se retrouver dans cette situation et d'avoir à affronter l'humiliation de sa nudité devant deux inconnues, même s'il s'agissait d'infirmières en principes rompus à voir des gens nus, mais se retrouver ainsi, nu, le sexe tendu vers le plafond comme une fusée prête au décollage, lui était difficile à supporter.

• Il a cassé les flacons cet idiot, il y en a pour une fortune. Il mérite que l'on s'occupe vraiment de lui.

• Montez sur la table jeune homme, il faut que je vérifie par moi même si vous avez la capacité à affronter les difficultés.

Marc, comprit immédiatement qu'il avait à faire à une femme de caractère et il se mit à genoux sur la table de soin, attendant la suite des évènements.

• Testez lui donc un peu les fesses avec cette ceinture, ordonna l'infirmière en chef à celle qui manifestement ne demandait qu'à lui chauffer le postérieur.

Une dizaine de claques sur les fesses finit par lui arracher un cri, plus de surprise que de douleur. Immédiatement l'infirmière se leva et sous le regard éberlué de Marc, elle enleva sa fine culotte de dentelle noire et s'approcha de lui. Elle lui fit ouvrir la bouche en pressant avec une main ses mâchoires et une fois la bouche ouverte, elle y fourra sa culotte au fond de sa bouche.

• Maintenant tu vas te taire. Il faut que l'on finisse l'examen en vérifiant ta virilité.

Elle passa ses mains sous les testicules de Marc et pendant qu'elle les massait fermement, elle commença à le masturber de son autre main pour le refaire bander. Marc restait devant elle, sa culotte dans la bouche, n'osant pas la recracher. La verge de Marc était à nouveau tendu vers le plafond.

• Mademoiselle, faites le donc éjaculer ce jeune homme, pour que l'on soit certain de son bon état de santé.

Elle se rassit sur le siège et attendit la suite des opérations. La jeune infirmière brune se mit à coté de Marc et commençât à deux mains, à le branler à toute vitesse, car elle n'avait manifestement pas envie que cette masturbation se prolonge trop longtemps.

Marc ne savait qu'elle attitude adopter, il se rendait bien compte qu'il allait avoir un mal fou à se contenir et à ne pas inonder l'infirmière en chef qui était assise devant lui.

L'infirmière continuait de lui astiquer la verge à la vitesse d'un piston de moteur de voiture de course. Il sentit monter dans sa verge un flot de sperme incontrôlable qui jaillit en par saccades de son gland turgescent. L'infirmière en chef fit un bond en arrière pour éviter de recevoir sur elle ce foutre qui finit par atterrir sur le carrelage froid de la pièce.

-Eh bien nous voila rassurées sur l'état de santé de ce "nouveau venu" parmi nous. On va pouvoir avertir les autres filles que notre opération "vérification" a parfaitement fonctionné.

• Dépêche toi de te rhabiller avant que quelqu'un n'arrive.

• Mais ce n'est pas vous les infirmières ? demanda Marc tout étonné.

• Non pas du tout, nous on est des deuxièmes années et on avait pour défi de te bizuter d'une manière sympa; Qu'est ce que tu en penses ?

Éclatant de rire, Marc venait de comprendre que les deux filles venaient de lui jouer un bon tour. Il était maintenant certain d'avoir fait le bon choix en postulant une place de surveillant dans cette université.........

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